Le parti d’Edouard Philippe a joué les trouble-fête avant la désignation des candidats aux législatives dans les 11 circonscriptions des Français établis hors de France. L’Elysée a tranché en investissant six sortants LREM et quelques surprises, parmi lesquelles Zineb El Rhazoui, Pierre Sled et Manuel Valls.
Des conducteurs qui certifient n’avoir consommé que du CBD – cannabis légal – se retrouvent dépistés positifs aux stupéfiants, et ainsi poursuivis pour ce délit, qui s’accompagne de sanctions gravissimes. Cela fait plusieurs mois maintenant que le sujet émerge devant les tribunaux, mais rien n’est fait, pour tirer au clair cette situation, comme pour donner les moyens, le cas échéant, à ces citoyens de se défendre.
À l’entendre, le phénomène serait « exponentiel » : « Non seulement, j’ai de plus en plus d’affaires de stupéfiants avec l’intensification des contrôles, constate l’avocate Laureen Spira, mais surtout j’ai de plus en plus de consommateurs de CBD qui se retrouvent dépistés positifs. »
Or, positifs aux stupéfiants lorsqu’on est au volant, c’est pour rappel un délit passible de 4 500 euros d’amende, deux ans d’emprisonnement, en plus d’un retrait de six points, sans parler des peines complémentaires que sont la confiscation du véhicule, et de manière plus courante, la suspension du permis de conduire (jusqu’à trois ans) quand ce n’est pas son annulation !
L’ancien député de Paris, Laurent Dominati, aujourd’hui assistant parlementaire de son frère, le sénateur Philippe Dominati, a utilisé la liste consulaire des Français de l’étranger pour promouvoir son média en ligne, via l’envoi de newsletters ciblées.
La nouvelle limitation de vitesse de 30 km/h, en vigueur dans la capitale depuis l’été dernier, est-elle correctement signalée aux usagers ? Caradisiac a multiplié les virées dans Paris, entre novembre 2021 et février 2022, pour en juger… Voici notre verdict en images !
Même au plus fort de la pandémie, l’Helvète n’a rien lâché, organisant en Suisse une tournée dépouillée dans des lieux insolites, à tarif libre. Nom de code : le Radeau des inutiles.
Sur le billet du concert, il était écrit Programme de bien être avec musique, vin et nourriture. Et c’est juste : en cette douce soirée de fin d’été, le paysage qui s’offre aux yeux pousse à la détente. Entre Lausanne et Vevey, l’or mat et le vert anglais des vignes du Lavaux, le gris-bleu du Léman, le brun sourd des montagnes, et au loin quelques touches de neige éternelle. On se croirait dans l’un des tableaux alpins du maître du genre, Alexandre Calame, peintre suisse du 19e siècle. A un détail près : au premier plan de ce panorama en cinémascope se dresse un radeau. Un vrai radeau de bois, comme suspendu au-dessus du lac, face aux montagnes. Sur le radeau, Stephan Eicher.
Ce soir-là, le prolixe suisse donne le dernier concert d’une tournée qui sort de l’ordinaire. Autofinancée, sans tourneur, sans billeteur, en plein air. Tarif libre, boisson et repas compris. Au plaisir des yeux s’ajoute donc celui du palais, puisque chacun des 70 spectateurs assis sous les tilleuls a reçu en arrivant un coffret de bois, préparé par Gilles Wannaz, vigneron ami d’Eicher, et propriétaire des lieux. Au menu : du Gruyère et du vin de Lavaux, évidemment, et d’autres petites choses délicieuses, terrines, gressins, fraises… Eicher grimpe sur le radeau, accompagné des fidèles Simon Baumann à la batterie, Simon Gerber à la basse et Reyn Ouwehand au piano. Pas de rideau, pas de coulisses, pas de chichis. “Je vous préviens il n’y aura pas de rappel, parce qu’on fait comme on veut” glisse, entre deux chansons, un Eicher très souriant, déjà comblé. La playlist s’égrène, les bouteilles de vin tournent. Le concert dure une heure ou deux, on ne sait plus, on a oublié le temps. Tout juste noté qu’entre le début et la fin du concert la nuit s’est invitée au spectacle, et qu’une guirlande de lumières s’est allumée tout autour du lac. On rentre à l’hôtel plus détendue qu’après un massage zen.
Musiciens : 1 – Pandémie : 0.
(la suite dans vos kiosques)
PS : cet article a été distingué par la revue de presse de France Inter le 2 novembre (à partir de 4’30)