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Radars automatiques : Capgemini remplace Atos

Le développement informatique du système des radars automatiques ne sera pas, pour la première fois depuis son lancement en 2003, assuré par Atos. Selon les informations de L’Express, le ministère de l’Intérieur, à travers son Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), vient de décider d’attribuer le marché à la société Capgemini, pour les quatre prochaines années. Un contrat de quelque 15 millions d’euros par an. Une enquête de Stéphanie Fontaine publiée par l’Express.

Retrouvez tous mes articles sur cette affaire

  • La justice ouvre une enquête sur les marchés publics des radars automatiques (Mediapart – 1er octobre 2016)
  • Radars automatiques : une plainte d’Anticor vise Thierry Breton, PDG d’Atos (L’Express – 23 décembre 2015)
  • Radars automatiques : Capgemini remplace Atos (L’Express – 4 novembre 2015)
  • Radars, amendes : OPA sur les PV (L’Express – 23 juin 2015) : Le traitement automatisé des infractions routières rapporte gros à l’Etat… mais aussi à des entreprises privées comme Atos, qui détient un monopole de fait sur la gestion du centre national installé à Rennes. Un rapport confidentiel (de l’Inspection générale de l’administration – IGA) pointe les faveurs dont a bénéficié la société informatique depuis douze ans. Révélations.
  • L’ex-Monsieur Radars dans le radar de la justice (Le Canard Enchaîné – 14 mai 2014) : Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 19 novembre 2013 pour faux et usage de faux, ainsi que détournement de fonds publics, à l’encontre de Jean-Jacques Debacq, l’ancien directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai).
  • Les contrats passés par “Monsieur PV” intriguent le ministère de l’intérieur (Mediapart – 5 novembre 2013)
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Radars, amendes : OPA sur les PV

Le traitement automatisé des infractions routières rapporte gros à l’Etat… mais aussi à des entreprises privées comme Atos, qui détient un monopole de fait sur la gestion du centre national installé à Rennes. Un rapport confidentiel pointe les faveurs dont a bénéficié la société informatique depuis douze ans. Révélations.

Retrouvez tous mes articles sur cette affaire

  • La justice ouvre une enquête sur les marchés publics des radars automatiques (Mediapart – 1er octobre 2016)
  • Radars automatiques : une plainte d’Anticor vise Thierry Breton, PDG d’Atos (L’Express – 23 décembre 2015)
  • Radars automatiques : Capgemini remplace Atos (L’Express – 4 novembre 2015)
  • Radars, amendes : OPA sur les PV (L’Express – 23 juin 2015) : Le traitement automatisé des infractions routières rapporte gros à l’Etat… mais aussi à des entreprises privées comme Atos, qui détient un monopole de fait sur la gestion du centre national installé à Rennes. Un rapport confidentiel (de l’Inspection générale de l’administration – IGA) pointe les faveurs dont a bénéficié la société informatique depuis douze ans. Révélations.
  • L’ex-Monsieur Radars dans le radar de la justice (Le Canard Enchaîné – 14 mai 2014) : Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 19 novembre 2013 pour faux et usage de faux, ainsi que détournement de fonds publics, à l’encontre de Jean-Jacques Debacq, l’ancien directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai).
  • Les contrats passés par “Monsieur PV” intriguent le ministère de l’intérieur (Mediapart – 5 novembre 2013)
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Le « M. Contravention » faisait payer ses PV par l’administration

Le préfet Jean-Jacques Debacq, qui dirige l’usine à procès-verbaux issus des radars automatisés, a fait payer par son administration les contraventions routières du dimanche dont son véhicule de fonction a fait l’objet et échappe au retrait de point sur son permis de conduire.

Article paru dans Mediapart à lire ici.

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  • La justice ouvre une enquête sur les marchés publics des radars automatiques (Mediapart – 1er octobre 2016)
  • Radars automatiques : une plainte d’Anticor vise Thierry Breton, PDG d’Atos (L’Express – 23 décembre 2015)
  • Radars automatiques : Capgemini remplace Atos (L’Express – 4 novembre 2015)
  • Radars, amendes : OPA sur les PV (L’Express – 23 juin 2015) : Le traitement automatisé des infractions routières rapporte gros à l’Etat… mais aussi à des entreprises privées comme Atos, qui détient un monopole de fait sur la gestion du centre national installé à Rennes. Un rapport confidentiel (de l’Inspection générale de l’administration – IGA) pointe les faveurs dont a bénéficié la société informatique depuis douze ans. Révélations.
  • L’ex-Monsieur Radars dans le radar de la justice (Le Canard Enchaîné – 14 mai 2014) : Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 19 novembre 2013 pour faux et usage de faux, ainsi que détournement de fonds publics, à l’encontre de Jean-Jacques Debacq, l’ancien directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai).
  • Les contrats passés par “Monsieur PV” intriguent le ministère de l’intérieur (Mediapart – 5 novembre 2013)

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Hôpitaux publics : pour les médecins, la direction « décode » à plein tube ! (Le Point)

Tous les établissements de santé sont financés selon leur activité. Mais le codage qui permet de la calculer est un casse-tête. À l’hôpital, on frise l’hystérie. En particulier à l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP), premier centre hospitalo-universitaire (CHU) de France et d’Europe. La direction du groupement hospitalo-universitaire (GHU) de Cochin-Hôtel Dieu-Broca menace à demi-mot de faire porter sur ses chefs de service la responsabilité des futures suppressions de postes en cas de codage incomplet des actes médicaux. Dans un courriel envoyé le 19 janvier dernier et que nous nous sommes procuré, Stéphane Pardoux, directeur adjoint de ce GHU, rappelle ainsi que « 300 séjours génèrent plus d’un million de recettes, soit l’équivalent en masse salariale de 25 agents ». En clair : si vous codez mal ces séjours, vous ferez perdre tant de postes…

Article paru dans Le Point.

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Sans propagande, on ne passerait pas des vies entières à être hétéros !

Ecrivaine et cinéaste, Prix Renaudot 2010 pour Apocalypse Bébé*, Virginie Despentes dérange et bouscule. Homosexuelle depuis peu, elle n’hésite pas à revendiquer ce statut pour un monde plus égalitaire.

Article paru dans AI! Amnesty.