LE CANARD ENCHAINÉ – La récente flambée de violence entre milices libyennes rivales, à l’est du pays, risque fort – entre autres dégâts – d’anéantir un ouvrage qui doit beaucoup à la France : l’hôpital de Benghazi. Ce don de la patrie des droits de l’homme au peuple « libéré » (de la dictature) par Sarko résulte d’un épisode étrange et méconnu de la fameuse « libération des infirmières bulgares ».
Article paru dans le Canard Enchaîné du 10 septembre 2014.