Entre tensions et instrumentalisations, les relations ne sont pas au beau fixe. Mais, alors que le Ramadan débute, les attentes sont plus fortes que jamais.
Article publié dans La Vie, le 23 juin 2016.
Entre tensions et instrumentalisations, les relations ne sont pas au beau fixe. Mais, alors que le Ramadan débute, les attentes sont plus fortes que jamais.
Article publié dans La Vie, le 23 juin 2016.
Depuis près de quinze ans, Corinne Herrmann, avec l’aide de son complice Didier Seban, s’est fait une spécialité, celle de rouvrir des dossiers
qui n’ont jamais été élucidés. Et si les enquêtes sont souvent longues et fastidieuses, les résultats sont là puisqu’elle compte déjà quinze élucidations de crimes à son tableau de chasse.
Son portrait dans Sang Froid et dans Ouest France par Jacques Duplessy avec des photos de Cyril Marcilhacy.
(Paris Match – texte : Jacques Duplessy – photo : Jacques Duplessy et Scop Ti)
Ils fabriquaient les thés Eléphants dans la région marseillaise. Et faisaient du profit. Quand Unilever décide de délocaliser la production en Pologne pour gagner plus. Un bras de fer s’engage avec la multinationale. La lutte durera 1336 jours. La potion magique de ces salariés ? Une foi sans faille dans leur savoir faire. Ils investissent leur indemnité de licenciement et reprennent leur usine. Fralib devient Scop-Ti. 1336 devient leur marque. Et les thés et infusions sont encore meilleurs. Rencontre.
Les revoilà! Ces bons vieux 45 et 33 tours qu’on avait un peu vite promis à la casse reviennent en force. Au point que leurs ventes aux États-Unis ont,l’an dernier, rapporté plus que les recettes combinées des plateformes de streaming musical. Dans le monde entier, les presses tournent à fond. Comme aux Pays-Bas, celles de Record Industry, la plus grande usine de vinyles d’Europe.
Article paru dans le numéro 14 de We Demain.
Le 18 novembre 2015, le Raid donnait l’assaut à un immeuble de Saint-Denis où s’était réfugié le cerveau des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud. Six mois plus tard, les 85 habitants de l’immeuble ne peuvent toujours pas rentrer chez eux. Au traumatisme psychologique s’ajoutent problèmes financiers et lenteurs administratives.
Article paru dans Ouest-France, édition du 9 juin 2016.