Depuis Aix-en-Provence, Stéphanie Tosi développe un réseau mondial de galeries low cost qui s’implante jusqu’en Chine.
Catégorie : Économie
Ah, qu’elles sont belles nos autoroutes ! Si tout le monde s’accorde là-dessus, surtout comparé aux autres réseaux qui n’ont cessé de se dégrader ces dernières années, le sentiment qui prédomine chez les usagers est bien celui d’être pris pour des « vaches à lait » aux péages. Rien qu’en 2018, ce sont plus de 10 milliards d’euros qui ont été encaissés aux barrières. Une somme phénoménale qui, à plus de 90 %, est allée remplir les caisses des sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA) dites historiques : ASF, Escota et Cofiroute du groupe Vinci, APRR et Area d’Eiffage et du fonds australien Macquarie, Sanef et SAPN de l’espagnol Abertis. Toutes, exceptée Cofiroute détenue depuis l’origine par des fonds privés, ont été privatisées en 2006 et exploitent, à elles seules, plus de 90 % du réseau autoroutier français.
Que font-elles de cette manne financière ? La réponse dans le numéro du mensuel Mieux Vivre Votre Argent (n°446 de Juillet – Août 2019).
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