Collectif de journalistes indépendants Extra Muros
Fuyant le conflit, les dizaines de milliers de Syriens ont trouvé refuge au Liban. Jacques Duplessy et Steven Wassenaar, photographe, ont été à leur rencontre en mars 2012. Leur reportage est paru dans VSD et dans Ouest France.
Le docteur Raphael Pitti, ancien médecin militaire urgentiste, se rend régulièrement en Syrie pour former des secouristes et des médecins urgentiste syrien. Au cours de ces missions humanitaires à hauts risques, il est témoin de la tragédie syrienne. S’il y a 100000 victimes directes des combats, le médecin estime que 100000 autres sont décédés en deux ans du fait de l’impossibilité de prendre en charge des malades chroniques.
Cette interview réalisée par Jacques Duplessy est parue dans Ouest France le 27 juin 2013.
L’enlèvement de cette famille d’expatriés français au Cameroun en mars 2013 par les terroristes du groupe Boko Haram au Nigéria avait provoqué un grand émoi, notamment à cause de la présence de quatre enfants. Après un mois de détention, ils ont été libérés sains et saufs.
Jacques Duplessy et Liseron Boudoul (TF1) racontent pour Paris Match leur calvaire, leur libération et les dessous des tractations.
Des salariés contaminés par du pyralène, plusieurs centaines de vaches contaminées abattues, des agriculteurs en grande difficulté… La société Aprochim (groupe Chimirec) est dans le collimateur de l’Etat et de la justice pour pollution. Son système de décontamination des transformateurs est inopérant, selon un rapport des services de l’Etat. Il avait pourtant reçu le 1er prix de l’Adème des « technologies économes et propres » ! A cette affaire toujours en cours s’ajoute une suspicion de fraude : Aprochim aurait dilué de l’huile contaminée au lieu de la traiter.
Cette enquête de Jacques Duplessy sur les activités empoisonnantes d’un spécialiste de la dépollution est parue dans le Canard Enchaîné en juin 2013.
Dans cet article paru dans VSD en septembre 2012, Jacques Duplessy fait le point sur l’arsenal chimique du président syrien Bachar el-Assad. Depuis, plusieurs enquêtes ont montré que l’armée syrienne avait utilisé à plusieurs reprises, en faibles quantités, des armes chimiques contres les rebelles. La « ligne rouge » fixée par le président américain Obama et par François Hollande a été franchie. Sans conséquence majeures pour le président syrien.