Renault et ses éternelles turpitudes avec ses faux espions… Le TGI de Versailles a quand même mis plus de huit ans pour se rendre compte que quatre de ces soi-disant espions – dont le journaliste d’Auto Plus Bruno THOMAS – devaient tous bénéficier d’un non-lieu. Tout commence le 20 juillet 2007 quand Renault dépose plainte contre X pour des faits de vols, accès et maintien frauduleux dans un système automatisé de données, recel et contrefaçon de droits d’auteur. La suite dans Le Canard Enchaîné du 6 janvier 2016.
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A la casse, les soupçons d’espionnage chez Renault (Le Canard Enchaîné)
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