Face au dérèglement climatique, l’association la Forêt gourmande expérimente une autre forme d’agriculture, sans logique de rendement. Une pratique durable pour les hommes et la biodiversité.
« Là, ce sont des égopodes, un des meilleurs légumes sauvages, qui pousse en abondance au pied des arbres. » Depuis 10 ans, Fabrice Desjours développe, à côté de sa maison à Diconne, en Saône-et-Loire, un jardin-forêt, aussi appelé « forêt comestible ». « C’est un jardin installé en plusieurs étages qui imite la structure d’un jeune boisement naturel », précise le jardinier-chercheur […]
La suite à lire dans le magazine La Vie du 19 novembre 2020.